Alcoolisme:

Alcoolisme: Drogue la plus largement utilisée dans le monde, l'alcool occupe une place particulière dans notre société. Dans le cadre de diverses boissons, elle aacquis une grande importance comme un aliment de luxe dans le choix intelligent vie sociale. L'effet stimulant et le stress de libération de la l'alcool est au premier plan. A sans doute contribué à une longue histoire de l'alcool dans notre culture à des règles et des normes pour son utilisation. Néanmoins, l'Allemagne est parmi les pays ayant la plus élevée par habitant la consommation d'alcool. Il est inquiétant, la fréquence de la consommation d'alcool et de l'attitude en partie vers la banalisation de l'état d'ivresse. Le potentiel de dépendance de l'alcool ou de drogues est mal compris. Le résultat, 2,5 millions d'alcooliques qui ont besoin d'un traitement en Allemagne. L'alcool endommage les cellules du cerveau et des nerfs, l'estomac, c?ur et vaisseaux sanguins, et en particulier le foie. En outre, elle augmente le risque de développer un cancer de la bouche et la gorge et du larynx, l'?sophage et le cancer du pancréas. Filtrer sont également induites par les dommages alcool, les cellules nerveuses. Parmi ceux-ci des lésions nerveuses, qui désigne le médecin comme polyneuropathie, environ la moitié de tous les alcooliques sont touchés. Les signes de liés à l'alcool neuropathie incluent des picotements et des engourdissements dans les mains et les pieds, la froideur et l'insensibilité à la douleur, diminution des réflexes. Les effets nocifs de l'alcool peut être déclenchée chez les hommes déjà en l'apport quotidien de l'équivalent de 60 à 80 grammes d'alcool pur. Cela correspond à environ les trois quarts de litre de vin ou un litre et demi de bière. Rendez-vous dans femmes déjà des niveaux sensiblement inférieurs - environ un tiers.En tant que critère pour l'évaluation de leur consommation d'alcool est souvent l'image de la dépendance physique et psychologique, qui est forcé de symptômes de sevrage causés par la consommation d'alcool régulière et excessive. Mais dans le contexte de la transition en douceur de boire occasionnel à la dépendance d'alcool est une analyse beaucoup plus critique de leur comportement propre consommation d'alcool est nécessaire. Ce qui suit signal typique première alarme doit parvenir à la conscience:se sentent de plus en plus toléréLa première boisson se déplace quotidiennement vers l'avant dans le temps.L'étendue réelle de la consommation d'alcool est gardé secret.Reproches à faire leur propre consommation d'alcool agressif.L'absence d'alcool est la préparation de l'agitation.Les causes de l'abus d'alcool sont complexes, mais sont la plupart du temps des problèmes psychologiques et sociaux au premier plan. Une augmentationrisque de dépendance est principalement pour les personnes qui souffrent de névroses, troubles anxieux oula dépression< / a> . La solitude et l'isolement social joue un rôle dans l'analyse des causes, de sorte que presque tous les alcooliques vivants seuls. Le plus importantcondition sine qua non pour la thérapie, c'est que l'alcoolique avoue lui-même et d'autres et elle accepte sa dépendance comme une maladie. Souvent, il faut plusieurs yoreilles, ce qui signifie que la thérapie soit lancé dans la plupart des cas avec une cure de désintoxication. A cet effet, un hôpital de réadaptation est réalisée dans une clinique spécialisée. Les symptômes physiques de sevrage tels que la transpiration, palpitations cardiaques, tremblements, agitation , de l'irritabilité et l'anxiété peuvent être atténuées avec des médicaments sous surveillance médicale. Venir plus du traitement des lésions nerveuses induite par l'alcool de fortes doses de vitamines du complexe B et l'acide lipoïque, la substance utilisée. Suite à la désintoxication physique est un traitement intensif psychothérapique. La période de sevrage de plusieurs mois pour stabiliser la personnalité du patient afin de le libérer de sa dépendance psychologique. Par la suite, doivent être distribués uniquement sur l'alcool pour prévenir les rechutes pour le reste de la vie. Dans les organisations d'entraide touchés peuvent partager et soutenir dans leur lutte contre la toxicomanie. Les rechutes sont fréquentes chez les alcooliques et ne peut conduire à la démission et la cessation de la thérapie. Récemment, avec l'ingrédient actif est une substance acamprosate sont disponibles avec laquelle on peut réduire le taux de rechute significativement. L'acamprosate atténue l'excitabilité des cellules nerveuses, ce qui réduit le besoin pendant le retrait de l'alcool. Le médicament doit être utilisé uniquement comme des mesures d'accompagnement à la psychothérapie.